Gabriel Amisi

À Kisangani, piroguiers et riverains retirent des eaux boueuses du fleuve Congo et de la rivière Tshopo les corps mutilés, parfois décapités. Entre dix et plusieurs dizaines, selon des témoignages.

Massacres de Kisangani : l’accablant rapport du Groupe Lotus au grand complet

  • mar, 13/08/2002 - 10:15

Dans un rapport d’une sérénité exemplaire, le groupe Lotus, une ONG locale basée à Kisangani, est sans équivoque : «L’ordre de tuer (à Kisangani, les 14 et 15 mai 2002) a été donné par la hiérarchie militaire.»