Exclusif - Le programme des 100 jours de Fatshi
  • lun, 03/06/2019 - 16:49

KINSHASA, PARIS, BRUXELLES.
ACTIONS à MENER dans les 100 premiers jours, montants ET SOURCES DE FINANCEMENT.
Suite à des couacs de com’ bien dommageables sans aucun doute des services de la Présidence de la République, nul ne sait quand débute le décompte des 100 jours de Fatshi. Il y a ceux qui s’imaginent que ce compte à rebours démarre le jeudi 24 janvier 2019, date de la prestation de serment du cinquième Président de la République dans la grande cour du Palais de la Nation à Kinshasa surplombant le majestueux fleuve. Il y a d’autres qui décomptent à partir de la prise des clés par Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo de ses bureaux du Palais de la Nation.

MOBILITE AVANT TOUT.
Soit le lendemain vendredi 25 janvier. Puis d’autres, avec force et conviction - qui n’auraient semble-t-il pas tout à fait tort - pour qui le commencement de tout est le jour du lancement du Programme d’Urgence des 100 jours de Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo à cette cérémonie de l’Echangeur de Limete. A savoir le 2 mars 2019. Puis - last but not least - ceux pour qui il n’existe pas de date, du coup, de décompte, l’essentiel est le mieux-être que le Président de la République s’est juré d’apporter aux Congolais dans des secteurs clés.
Le Soft International publie sur six pages, dans cette édition (de la page 13 à la page 18) - comment seul ce journal sait le faire par l’espace rédactionnel ample qu’il est le seul en effet à savoir offrir en l’espèce, dans notre pays - le Programme d’Urgence des 100 premiers jours du Chef de l’Etat Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo.
Les routes d’abord. Rien n’est possible sans la mobilité. Mais que sont les routes sans les ponts? Si routes et ponts permettent la circulation des personnes et des biens, la bonne santé des humains est la condition sine qua non pour que ces liens s’établissent.
A voir l’état déplorable dans lequel se trouve ce secteur, la santé se présentait comme un secteur d’urgence pour le président Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo.
Mais l’éducation est la base de tout. Sans l’éducation (la formation des jeunes), point de développement et, du coup, point d’avenir.
Vient ensuite le cadre de vie - habitat, logement, eau et électricité, secteurs levier du développement et de la croissance.

UN DEMI-MILLIARD DE $US.
Puis l’agriculture (pêche et élevage) que permet l’étendue géographique de notre pays tout comme ces quantités des précipitations, don du ciel, qui s’abattent sur le pays quand des régions entières dans le monde connaissent la sécheresse et donc l’impossibilité de planter le choux.
Puis des secteurs qui certainement requièrent des réformes majeures: le secteur de la justice, celui de la sécurité, le secteur politique - entendez le système électoral -, la promotion des bonnes mœurs - afin que le pays devienne attractif -, lutte contre la corruption, bonne gouvernance, diplomatie, etc.
C’est vrai qu’à voir l’importance et le volume d’actions à engager, on est tenté de dire que jamais le président de la République Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo n’avait envisagé que celles-ci pouvaient être lancées, conduites et achevées en 100 jours chrono. D’abord, le financement, nerf de la guerre. Certes c’est environ un demi-milliard de US$ étaient requis (US$ 488.145.106,00 précisément) dont US$ 206.637.351,00 provenant du Trésor public - les caisses de l’Etat - , US$ 27.363.657,00 du Fonds National d’Entretien Routier, FONER en sigle et US$ 70.096.734,00 du Fonds de promotion de l’Industrie, FPI. Mais encore faut-il trouver et disponibiliser ces fonds. Il faut toucher du bois... Car, dans le pays, des chantiers s’ouvrent, l’eau et l’électricité deviennent une denrée disponible. Pourvu que ça dure...
D. DADEI.


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